photo Le Tour de France au Pays de Landerneau-Daoulas

Le Tour de France au Pays de Landerneau-Daoulas

Courses cyclistes, Feu d'artifice

Landerneau 29800

Le 26/06/2021

Landerneau épilogue de la 1ère étape du Tour de France 2021 Depuis le 1er novembre, la ville est en effervescence suite à l’annonce officielle du parcours 2021. Pour cette première étape du Tour de France, les cyclistes traverseront Loperhet, Daoulas, L’Hôpital-Camfrout… puis Hanvec, Saint-Eloy, Le Tréhou, Tréflévenez, Saint-Urbain avec une arrivée prévue rue de la Fosse aux Loups à Landerneau le 26 juin. Certains imaginent déjà un puncheur (français et pourquoi pas breton) revêtir le Maillot Jaune.. Première arrivée pour la cité de la Lune qui n’avait pas vu le Tour passer depuis 1974. L’édition 2021 est aussi l’occasion d’un clin d’œil aux cyclistes locaux qui ont fait vibrer des générations ! A commencer par Jean Malléjac qui termina 2e en 1953 et 5e l’année suivante. Plus récemment, Perrig Quéméneur, coéquipier d’un certain Thomas Voeckler, s’est illustré dès la première étape de sa participation en 2011. Enfin, nous sommes impatients de retrouver Laurent Pichon sur un terrain de jeu qu’il connait parfaitement ! Qui sera le premier coureur à franchir la ligne d’arrivée en haut de la côte de la Fosse aux Loups ? Une chose est certaine, le Tour fait déjà du bruit dans[...]

photo ICE Festival 6ème édition

ICE Festival 6ème édition

Vie locale

Saint-Jean-du-Doigt 29630

Du 26/08/2021 au 28/08/2021

Pour sa 6ème édition, du 26 au 28 Août 2021, le Festival ICE, dédié aux écritures contemporaines interdisciplinaires, se déroule dans les villes de Saint-Jean-du-Doigt, Plougasnou et Morlaix. ICE promeut les écritures contemporaines liées aux arts de la scène, aux arts plastiques, au cinéma et à la littérature, en articulant un ancrage local à Saint Jean-du-Doigt et Plougasnou à une dimension régionale et internationale. Cette 6e édition des rencontres de ICE est placée sous l’angle incisif et revigorant de la résistance et de la sororité. De nombreuses luttes, dont celle de #MeToo, ont été recouvertes par les discours sécuritaires et sanitaires entourant la pandémie. Nous éprouvons un sentiment de dépossession de nos puissances d’agir, comme si, à force de confinements de couvre-feu et d’injonctions paternalistes contradictoires, nous avions toutes été insidieusement un peu affaibli·es. L’art puise dans la colère et le désespoir et anime notre désir insatiable d’invention et de liberté. Les créations et les voix insurrectionnelles forment une chaîne salvatrice que nous devons tirer et faire remonter jusqu’à nous. C’est pourquoi je suis allée de l’autre côté de l’Atlantique[...]